10/9/14
Dans ce TD, nous allons travailler sur :
En particulier, vous apprendrez comment accéder au disque réseau sur lequel vous aurez à déposer ce TD et les prochains, en vue de leur évaluation dans le cadre de la note de contrôle continu.
Toutes les notions autour de la recherche d’information vous seront utiles pour mener à bien votre projet individuel.
Vous retrouverez les consignes générales du projet individuel ici ou à partir du menu de gauche de la page présentant le sommaire du niveau débutant. Le thème sur lequel vous travaillerez vous sera donné par votre enseignant et la remise sera à rendre durant la séance 7.
L’accès au réseau internet sous-entend l’utilisation d’un prestataire de services qui fournit "la prise" à travers laquelle l’ordinateur que vous utilisez communique :
La loi pour la confiance dans l’économie numérique (LCEN) : le décret paru dans le Journal officiel du 1er mars 2011, oblige les fournisseurs d’accès à Internet (FAI) ainsi que les hébergeurs et éditeurs de service sur internet à conserver pendant un an l’ensemble des données de connexion « permettant d’identifier toute personne ayant contribué à la création d’un contenu mis en ligne ».
Cela signifie que doivent être conservés :
Loi sur la protection du droit d’auteur sur internet : decret du 31 décembre 2009 avec mise en place de la commission Hadopi (Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet).
La commission Hadopi ne contrôle pas le réseau Internet. Elle utilise les résultats des contrôles organisés par les plaignants (producteurs d’œuvres protégées par des droits d’auteur : musiques, films…).
Les propriétaires de droits d’auteur font surveiller internet : les adresses IP des personnes piratant les œuvres sont enregistrées et envoyées à la commission Hadopi.
La commission peut ensuite demander aux FAI les coordonnées des propriétaires des adresses IP puis déclencher des sanctions.
Les personnes téléchargeant des œuvres protégées peuvent recevoir :
Depuis sa création, la commission indique avoir envoyé trois millions de fois un premier mail d’avertissement (1 internaute français sur 10) et 116 dossiers ont été transmis à la justice.