Poursuivant un travail consacré au financement des établissements d’enseignement supérieur, l’AEF a publié une dépêche faisant état de la progression des ressources propres des universités et écoles d’ingénieurs françaises, dont l’Université Paul-Valéry Montpellier 3, entre 2016 et 2022.
Durant cette période, les ressources propres de notre université ont fortement augmenté, passant de 14% en 2016 à 19% en 2019, puis 30% en 2022 de ses ressources globales, ce qui représente en 2022, 35,5 M€ - contre 14 M€ en 2016 et 21 M€ en 2019 - sur 118 M€.
De toutes les universités de lettres et SHS recensées dans cette étude, c’est l’Université Paul-Valéry qui enregistre la plus forte progression et qui est de loin en tête, les autres établissements se situant entre 11% et 21%. Elle est au 14e rang de l’ensemble des universités, c’est-à-dire dans les premiers 20%.
Les ressources propres des universités proviennent
- De la formation : frais d’inscription, formation continue, taxe d’apprentissage, etc.
- De la recherche : programme d’investissement d’avenir, appels à projets, etc.
- D’autres sources : subventions autres que celle de l’État, prestations de service, etc.
Ces données témoignent du dynamisme de notre université et de sa capacité à mobiliser étudiants, partenaires et subventionneurs grâce à la qualité de son enseignement et de ses projets de recherche.