FESTIVAL BRUITS BLANCS #1

Le Mardi, 23. novembre 2021 -
19:15 - 21:00
Théâtre La Vignette

Le festival Bruits Blancs propose des performances et rencontres entre compositeurs-musiciens, créateurs vidéo et écrivains - où sont explorées toutes les formes d’expressions nées des nouvelles technologies et du numérique, des champs de « l’expérimental électronique » ou de l’art acousmatique.

1ère partie # Natasha Muslera / Michel Simonot
Duo auteur / musicien

Natacha Muslera commence à élaborer une recherche expérimentale, poétique et sonore, de l’instrument voix, au début des années 1990 à Paris. Les performances de l’artiste confrontent tout autant les potentiels vocaux que les problématiques de normalité et d’esthétique, c’est-à-dire les limites que l’on assigne à la voix : celle de genre, de sexe, de classe, de registre, de langage dominant, ainsi qu’à la prédominance de certains sens. Ces recherches prennent vie et se concrétisent lors de concerts, d’improvisations libres, de performances sonores et plastiques, en France et ailleurs, Inde, Italie, Grèce, Russie, Belgique, Argentine, Allemagne, Québec, Canada, Islande, Hongrie, Espagne, Maroc, Autriche, Palestine, Suisse…

Michel Simonot est écrivain et metteur en scène. Il a écrit une vingtaine de textes, tous portés à la scène ou réalisés à France Culture (à l’exception de Le But de Roberto Carlos).
Michel Simonot a été auteur-metteur en scène associé au Théâtre Gérard Philipe de Saint Denis (C.D.N), sous la direction d’Alain Ollivier. Il a été auteur associé à des compagnies de théâtre et de danse. Il fait partie du Groupe PETROL, avec Lancelot Hamelin, Sylvain Levey et Philippe Malone.

 

2ème partie # inLAND | come back in broad day
Performance audiovisuelle / Vidéo en images de synthèse 3D audioréactives

Passages, traversées et métamorphoses tissent l’odyssée d’inLAND | come back in broad day.

Ces univers sont explorés en direct comme un jeu vidéo 3D dans lequel on déambulerait. Cette exploration est effectuée sur place ou à distance avec l’outil « gamer » Discord.

Dans ces espaces multiples, la perception se trouble entre réalité, matière et apparition. L’abstraction fait place à des paysages, échos aux mondes intérieurs qu’une narratrice semble déplier. Les visions s’effritent, l’image s’avère être une illusion. Nous faisons alors l’expérience de ce qui ne peut être dit ni représenté.

Dernière mise à jour : 12/10/2021