
Porteurs: Sophie Vasset et Jean Vivier
Rencontre avec Storm, mercredi 12 mars 2025, lors d'une répétition au Musée des Moulages et sur la pelouse du campus Route de Mende
Marion Storm, une chorégraphe entre Sète et Montpellier, portée par Miranda
Installée à Montpellier, la chorégraphe Storm apporte une vision singulière à la danse contemporaine. Avec un passé ancré dans les pratiques new-yorkaises et une philosophie inspirée du Judson Church, elle explore sans cesse les conditions d'apparition du mouvement. Rencontre avec une artiste qui questionne autant la danse que la manière dont elle prend forme.
D’entrée de jeu, Storm exprime son enthousiasme pour le projet porté par Miranda. Travailler avec un groupe dans sa langue maternelle est pour elle un véritable soulagement. « C'est un relâche et une source de confort », explique-t-elle, habituée à enseigner en français. Mais au-delà de la langue, c'est l'acte même de création avec les étudiants qui la passionne. Elle observe avec admiration leur capacité à s'engager physiquement, à explorer la question de l'incarnation du mouvement malgré une langue parfois peu familière.
Miranda, un soutien essentiel à la création
Le programme Miranda représente pour Storm bien plus qu'un simple financement : il est un moteur fondamental pour la recherche et l’expérimentation artistiques. « C'est un vrai rêve d'avoir ce soutien », admet-elle, consciente des difficultés économiques rencontrées par les artistes à Montpellier. Pour elle, la recherche est indissociable de la création et doit être considérée comme une part essentielle du processus artistique.
Dans un contexte où le financement des arts est souvent un combat, elle exprime sa gratitude en des termes forts : « Miranda permet aux artistes de s’affranchir des contraintes financières pour se consacrer pleinement à leur démarche artistique. Ce dispositif, c’est en même temps nécessaire et précieux. La création, la production, la diffusion, l’invitation, la répétition, la performance elle-même… tout est recherche, et ça Miranda l’a compris. »
Explorer les frontières de la danse
Pour Storm, la danse n'est pas seulement une affaire de gestes et de techniques, mais plutôt une expérience commune, une exploration collective. « Je crois vraiment en mon métier, parce qu'il offre une multitude d'outils : la chorégraphie, la composition, l'écriture… Il y a tant de choses à tester ensemble », confie-t-elle. Son approche repose sur une remise en question constante des codes traditionnels et une volonté de comprendre le corps dans son contexte présent.
Inspirée par le mouvement post-moderne américain et notamment par le Judson Church de New York, elle s'interroge sur la manière dont la danse peut être perçue et reçue. « Quelles sont les conditions d'apparition d'une danse ? Quel est l'accueil ? Le corps du public ? L'environnement ? La durée ? » Autant de questions qui nourrissent sa recherche et structurent son enseignement.
Réinventer la danse
Avec une énergie contagieuse, Storm revendique une approche radicale de la danse. « Troubler toutes les suppositions, c'est aussi un geste politique », affirme-t-elle. Dans ses ateliers comme dans ses spectacles, elle invite les danseurs à dépasser leurs habitudes et à explorer de nouvelles formes d'expression.
Investie dans la transmission, elle enseigne également à l'ENSAD et salue l'opportunité de travailler avec les jeunes générations. Pour elle, c'est un « privilège » que de participer à leur cheminement artistique.
Grâce à Miranda, Storm poursuit sa quête d'un art en perpétuel mouvement. Une démarche où la danse ne se limite pas à l'exécution de pas, mais devient un espace de réflexion et d'expérimentation, toujours en évolution.
Musée des Moulages - Instagram @museedesmoulages
Mais son écriture ne se limite pas aux pages imprimées. Depuis huit ans, elle mène des performances d'écriture interactives, où elle compose des textes en direct à partir de mots donnés par le public. Ces dispositifs transforment l’écriture en un moment de partage et d’expérimentation, mettant en lumière le processus créatif dans sa dimension spontanée et vivante.
Aujourd’hui doctorante, Claire Musiol inscrit sa recherche dans le projet Miranda, qui soutient l’ouverture de l’université sur la cité et les industries culturelles et créatives (ICC). Ce cadre lui permet d’explorer en profondeur l’écriture hors du livre, de développer de nouveaux dispositifs et scénarios d’écriture interactive et d’interroger l’impact de ces pratiques sur la société contemporaine.
Une thèse en recherche-création au cœur de l’écriture performative
Sa thèse, menée sous la direction de la professeure Marie Joqueviel-Bourjea au sein du laboratoire RIRRA21, s’intitule :
« Pratiques littéraires performatives : vers une écriture-performance interactive »
Deux interrogations centrales l’animent : comment l’acte d’écrire peut-il être partagé dans un monde où les formes de la littérature évoluent ? Comment croiser écriture et performance autrement que par la lecture mise en scène ?
Elle développe l’hypothèse d’une « écriture exposée », qui offrirait au public une expérience inédite : celle d’être public-spectateur-acteur, impliqué dans une relation renouvelée à la littérature. Dans ce cadre, elle conçoit de nouvelles performances d’écriture interactives, où l’écriture devient un acte créatif partagé.
Le volet créatif de la thèse consistera en la réalisation de nouveaux scénarios de performances, engageant divers publics. D’un point de vue scientifique, cette recherche vise également à combler un manque : à ce jour, l’écriture performée n’a fait l’objet d’aucune étude d’ampleur.
Une autrice engagée pour la transmission
Convaincue que la littérature se nourrit du collectif, Claire Musiol anime depuis dix ans des ateliers d’écriture, intervient en universités et écoles, et organise des soirées littéraires. Elle propose également des formations à l’écriture pour des entreprises. Co-créatrice du Festival Écrire en Mouvement, qui tisse un lien entre écriture et espace urbain, elle a aussi siégé au conseil d’administration de la Maison de la Poésie Jean Joubert de Montpellier (2019-2024).
Avec sa démarche à la croisée de la création, de la transmission et de la recherche, Claire Musiol redéfinit les contours de l’acte d’écrire et explore sans cesse de nouvelles manières de faire exister la littérature, dans et hors du livre.
Pour découvrir ses ateliers d'écriture : www.lalucioleecritures.fr
Suivez son actualité sur Facebook (clairemusiol.auteur) et Instagram (@clairemusiol_auteure).
Portrait de Clément Féménias, un des lauréats du dispositif de financement "contrats doctoraux 2024"
Ses recherches ont été initiées par un mémoire de master ayant profité du programme Erasmus+ par un an en Lituanie en abordant le thème de la conservation et de la définition du patrimoine architectural de Vilnius sur le XXe siècle. En Juin 2024, son projet de fin d’étude de master porta sur la réhabilitation du Palais des Sports des Arts et du Travail de Narbonne et fut un initiateur de son projet de thèse de doctorat.
Sous contrat doctoral Miranda, il effectue ses recherches au sein du LIFAM (Laboratoire Innovation Formes Architectures Milieux) rattaché à l’ED 60.
Sa thèse intitulée « Palais civils en béton armé & mixité fonctionnelle (1880-1940) – Histoire et enjeux de réhabilitation d’un patrimoine monumental silencieux de la IIIe République » porte sur les enjeux de conservation de ces édifices en béton armé par l’analyse du matériau béton et celle de l’architecture et de ses potentialités de réusage par la “recherche-création”.
Plasticien de formation devenu auteur, metteur en scène et pédagogue, Gildas Milin déploie depuis plus de trente ans une œuvre à la croisée du théâtre, de la science et des arts visuels. Né en 1967, il est formé à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, puis intègre le Conservatoire national supérieur d’art dramatique. Il joue d’abord sous la direction de Philippe Adrien ou Stuart Seide, avant de fonder en 1995 sa compagnie Les Bourdons Farouches et de signer ses premières pièces. Lauréat de la Fondation Beaumarchais, auteur associé à la Colline puis au TNS, il fait du théâtre un lieu d’expérimentation pluridisciplinaire.
Aux origines du geste théâtral
Avant de s’orienter vers le théâtre, Gildas Milin grandit dans un environnement nourri par les arts plastiques et les sciences. C’est par le dessin et la sculpture qu’il entre dans le monde de la création, interrogeant très tôt les formes, les volumes, les structures du vivant. Cette pratique le sensibilise à la matière, au rythme, à la composition – autant d’éléments qu’il réinvestira dans l’écriture scénique.
Mais c’est la rencontre avec le théâtre, presque par hasard, au détour d’un atelier, qui provoque un basculement : le désir de faire entendre des voix, de travailler le corps dans l’espace, de créer des formes mouvantes et collectives. Il explore ces dimensions et fait très vite le choix d’une pratique hybride, entre mots, images et présences. Pour lui, l’écriture ne peut être dissociée du plateau : elle naît du jeu, du dialogue, de la tension entre les disciplines.
« J’ai compris que ce que je faisais en sculpture, en dessin, en gravure, c’était déjà du théâtre sans le savoir. J’organisais des situations, je faisais parler des formes, j’interrogeais des tensions »
Cette intuition d’un passage possible entre les arts visuels et la scène marque un tournant dans son parcours. Très vite, il commence à écrire des textes pour les faire entendre, à chercher des formats qui conjuguent image, voix, geste et pensée.
Une œuvre en mouvement
Ses textes, parmi lesquels Le Banquet de la vie, Venise-Nord, La Place du chien ou Hygiène, sont publiés aux éditions Actes Sud-Papiers et Les Solitaires Intempestifs. Il reçoit en 2002 le prix de la SACD « Nouveau Talent Théâtre ». Il a mis en scène ses propres textes mais aussi ceux d’autres auteurs, dans une recherche constante de nouveaux rapports entre écriture et scène.
À partir de 2015, Gildas Milin dirige pendant plusieurs années l’École Nationale Supérieure d’Art Dramatique (ENSAD) de Montpellier, qu’il transforme profondément. Il y initie une pédagogie décloisonnée, ouverte aux arts contemporains, aux nouvelles écritures et aux liens entre scène, recherche et société. Sous son impulsion, l’école devient un lieu de laboratoire autant que de transmission, où les jeunes artistes sont invités à interroger leur époque, à créer collectivement et à travailler hors des formats classiques. Il y développe également des partenariats internationaux et favorise les rencontres entre étudiant·es, artistes et chercheur·euses.
Dans son travail, l’écriture est souvent fragmentée, le récit choral, l’espace sensoriel. Ce qui l’intéresse : explorer les frictions entre savoirs, matières et langages. La fiction y devient un outil de réparation, de spéculation, de mémoire – et parfois de résistance.
"Arche" : théâtre, médecine et fiction prospective
Sa dernière création, Arche, creuse ce sillon. Projet ambitieux et immersif, Arche est une fresque dramaturgique en deux volets, entre passé médical et futur spéculatif. La pièce traverse deux siècles d’histoire, de 1880 à 2080, entre les amphithéâtres de la Salpêtrière et une installation performative futuriste.
Dans le premier mouvement, Gildas Milin interroge le théâtre médical du XIXᵉ siècle, à travers les figures de Charcot, Freud, Tourette, et les mises en scène de l’hystérie à la Salpêtrière – ces « démonstrations cliniques » devenues spectacles. Le deuxième volet propulse le spectateur dans un avenir fictionnel : en 2080, une plasticienne expose une œuvre vivante dans une chapelle-hôpital. Là, le théâtre devient un lieu de transmission, d’archives sensibles, où se mêlent récits, corps, souvenirs et technologies.
Un projet accompagné par Miranda
C’est dans ce geste de transversalité entre création artistique, recherche et innovation que Arche a été soutenue par le projet Miranda, un programme financé par l’Université Paul-Valéry Montpellier 3 et le ministère de la Culture. Pensé pour favoriser les collaborations entre artistes, chercheur·euses, institutions culturelles et publics, Miranda accompagne des démarches qui déplacent les frontières traditionnelles de l’art et du savoir.
Le soutien de Miranda a permis :
- des temps de résidence au Hangar Théâtre avec des étudiant·es de l’ENSAD et des partenaires scientifiques,
- l’implication de chercheur·euses en neurosciences, psychiatrie, histoire de la médecine et en études théâtrales,
- des rencontres publiques, colloques et ateliers autour de la mémoire du corps, des archives vivantes, et du théâtre comme lieu de soin.
En s’associant à ce projet, Arche devient plus qu’une pièce : un espace de recherche-création partagé, où fiction et sciences humaines dialoguent en direct.
Une esthétique chorale, exigeante et sensorielle
Mise en scène dans une scénographie monumentale signée Patrick Laffont de Lojo, Arche mobilise une trentaine d’interprètes, pour une durée de près de six heures. Le spectateur est invité à circuler, écouter, s’arrêter, repartir. Chant, vidéo, textes, archives, arts martiaux, hypnose : tout est matière.
Avec "Arche", le théâtre n’est pas divertissement, mais laboratoire de pensée sensible, où s’exposent les tensions entre normalité et anomalie, soin et violence, mémoire et oubli.
Une œuvre ouverte, entre recherche, création et transmission
Gildas Milin signe donc une œuvre-monde, difficile à classer, qui incarne parfaitement l’esprit du projet Miranda : invention de nouveaux formats, articulation entre expérience artistique et connaissance, ouverture sur des publics pluriels.
Ce n’est pas un spectacle qui se regarde passivement, mais une œuvre dans laquelle on entre, qu’on traverse, qui nous met au travail – intellectuel, émotionnel, parfois même physique.
Le projet Cart.Occ est un projet d’établissement, intégrateur de l’ensemble d’équipes et laboratoires de recherche de l’Université de Montpellier Paul-Valéry. Il cherche à mettre en valeur des recherches développées au sein de l’Université concernant le patrimoine immatériel et matériel d’Occitanie-Est. Cette mise en valeur a été réalisée par l’usage des récits associé à la cartographie dynamique de type StoryMaps.
Ce projet a trois objectifs :
- Utiliser la cartographie narrative pour diffuser de façon accessible au grand public les recherches développées au sein de l’Université Paul Valéry Montpellier 3.
- Mettre en valeur le patrimoine bâti et paysager du territoire Occitan.
- Faire interagir et collaborer les différents équipes de recherche de l’Université
Un projet innovant pour valoriser le patrimoine culturel d'Occitanie
Cart.Occ est piloté par le Laboratoire de Géographie et d’Aménagement de Montpellier (LAGAM) de l’Université de Montpellier Paul-Valéry (UMPV), vise à dynamiser l'accès au patrimoine culturel de la région Occitanie grâce à une web-cartographie enrichie. Co-financé par le Rectorat de l’Académie de Montpellier, ce projet de 17 mois, se terminant en mars 2024, ambitionne d'offrir une exploration interactive et multi-temporelle du patrimoine matériel et immatériel de la région.
Cart.Occ se distingue par son approche pluridisciplinaire, impliquant divers laboratoires de recherche tels que le LERASS-CERIC, l’UMR ASM, l’UMR SENS, CRISES, ReSO, et le LAGAM. Le projet bénéficie également du soutien du Studio Web-TV et du CREMAD, ainsi que des services communs de l’UMPV. Parmi ses objectifs, Cart.Occ propose un inventaire géolocalisé du patrimoine régional, un diagnostic de l'offre culturelle et une mise à disposition de ressources patrimoniales via une plateforme web.
Ce projet s'inscrit dans la priorité régionale pour un territoire équitable et riche en patrimoine, et s'articule avec le projet Miranda, qui explore l'art et le patrimoine à l'ère numérique. Les résultats préliminaires de Cart.Occ incluent une série de StoryMaps, utilisant l'application ArcGIS de ESRI®, pour intégrer des contenus dynamiques et narratifs. Ces productions témoignent de l'efficacité de la web-cartographie pour valoriser et diffuser le patrimoine culturel régional.
Au cours des 17 mois, Cart.Occ a mobilisé cinq équipes de recherche, cinq doctorants, une post-doctorante et deux groupes d’étudiants du Master 2 en Gestion des Catastrophes et des Risques Naturels (GCRN) de l'UMPV. Douze StoryMaps ont été créées, abordant divers aspects du patrimoine régional, tels que les rapports entre société et espace géographique, les mémoires d'inondations et de feux de forêt, la mise en scène du territoire par les séries télévisées, et la découverte des temples protestants d’Occitanie-Est. Ces projets illustrent la richesse et la diversité du patrimoine culturel d'Occitanie et la capacité de Cart.Occ à le mettre en valeur de manière innovante.
Déjà partenaire associé de cette alliance européenne d'universités spécialisée dans le film, l’audiovisuel et les arts numériques, l’UMPV consolide ainsi son engagement dans ce réseau et contribue entre autres, à la diffusion au niveau européen des activités de Miranda.
Cet accord permettra aux membres de la communauté universitaire de collaborer avec celles des établissements partenaires de FilmEU pour le développement de projets de recherche communs, l'enrichissement de l'offre de formation initiale et continue et l'accès aux ressources numériques partagées. À terme, cette coopération bénéficiera aussi aux autres partenaires de Miranda.
Le comité de sélection des appels SRC est constitué par les membres du comité de pilotage :
- Co-direction scientifique
- 6 responsables des pôles
- 1 représentant de la MSH-Sud
- 1 représentant de chaque partenaire (ENSAM, MO.CO-Esba, ENSAD, ICI-CCN, Inrap, CNRS)
- Vice-Présidentes de l’UPVM
Voici la liste des lauréats :
> Auger Nathalie, "CARTES - Cartographies Artistiques et Résonances Territoriales pour l’Éducation Langagière" (UPVM/LHUMAIN)
> Brunel Lionel, "IP3C - Immersion, passé, patrimoine, parfum et cognition" (UPVM/Epsylon)
> Cot Guillaume, "Dramaturgie de l’écologie, de l’écoute et de la perception- DEEP" (UPVM/RIRRA21)
> Daanoune Karim, McMahon Fiona et Robert-Foley Lily, "Poetry Talks" (UPVM/EMMA)
> Gailledrat Eric, "CALIMEDA- Cuisine et Alimentation en contexte Méditerranéen Antique" (CNRS/ASM)
> Guedj Muriel et Blanvillain Caroline, "MEDIARTSCI- Médiation artistique et scientifique" (UPVM/LIRDEF et UM)
> Marty Frédéric, "CSI - La coproduction sérielle à l’échelle internationale : marchés, festivals, plateformes" (UPVM/LERASS)
> Meliani Valérie, "QualiXsigne" (UPVM/LERASS)
> Therville Clara, "NaatalMaGéej" (UPVM/SENS)
> Trias Jean-Philippe, "VADéC- Valorisation des Archives de Décors de Cinéma par le numérique" (UPVM/RIRRA21)
> Vasset Sophie et Vivier Jean, "DraMareNostrum" (UPVM/IRCL et CNRS)
Miranda se réjouit de ces projets à suivre en 2025 et félicite tous les lauréats.
Pour faire quoi ?
Des opérations de recherche scientifique, des opérations de création artistique ou culturelle, des opérations de recherche-création :consolidation, diffusion et valorisation de résultats ; préparation de nouveaux projets.
Pour qui ?
Porté a minima par un membre d’une unité de recherche de l’UMPV ou d’un établissement partenaire du programme Miranda en collaboration, le cas échéant, avec d’autres acteurs.
A déposer quand et comment ?
Au plus tard le 4 novembre 2024 à 12h (midi).
En utilisant le formulaire de dépôt de projet disponible sur la page de l’appel à projets.
Pour toute question écrire à aap.miranda@univ-montp3.fr.
Pour cette occasion, 5 représentants de Miranda sont sur place :
- Réjane Roure (Professeure d'archéologie, Directrice du laboratoire ASM, Directrice scientifique du Programme Miranda) ;
- Chloé Delaporte (Professeure en études cinématographiques et audiovisuelles, chercheuse affiliée au laboratoire de recherche RIRRA21, Co-responsable du pôle thématique 2 de Miranda "créations culturelles et artistiques") ;
- Pierre-Yves Kirschleger (Maître de conférences HDR d’histoire contemporain, cherceur affilié au laboratoire CRISES, Co-responsable du pôle thématique 1 de Miranda "Sciences du passé et du patrimoine") ;
- Christophe Chandezon (Professeur d’histoire grecque, chercheur affilié au laboratoire ASM - Archéologie des sociétés Méditerranéennes) ;
- Marie Blaise (Professeur de Littératures comparées, Directrice du laboratoire CRISES).
Visionnez la vidéo de l'évènement ici
L'article sur l'événement de lancement disponible ici
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