Faire face à nos missions

 

 

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Comme toutes les universités, Paul-Valéry doit faire face à un régime de dotation budgétaire structurellement insuffisant ; d’autant plus que le nombre d’étudiants s’accroît et que s’accroît aussi le nombre de missions que notre tutelle nous assigne.

Le ministère a annoncé une augmentation du budget global. Même s’il faut s’en réjouir, nous savons que cette augmentation ne suffira pas à répondre aux enjeux et que la dotation par étudiant sera au final, du fait de l’accroissement démographique, plus faible que l’an passé.

Pour que les établissements comme le nôtre pèsent à la CPU et soient entendus du ministère, une nouvelle association a vu le jour : l’Auref (Association des universités de recherche et de formation françaises,  dont notre établissement est membre fondateur) qui vise à porter notre voix auprès de nos tutelles.

L’insuffisance de la dotation globale ne doit cependant pas oblitérer la réflexion à mener en interne sur l’affectation de nos ressources. De fait, nous devons continuer à améliorer notre pilotage global, à redistribuer vers les composantes les moins bien dotées des moyens nouveaux et à mesurer les effets des campagnes d’emploi.

C’est tout le sens des dialogues de gestion avec les composantes qui ont été mis en place pour la première fois dans notre université, à l’initiative de la VP CA et de la DGS, et des contrats d’objectifs et de moyens qui vont en découler. Grâce à la qualité de nos services de pilotage, les données chiffrées et objectivées ont été fournies. Elles permettront le dialogue sur la base d’informations partagées. C’est un programme pluri-annuel qu’il nous faut construire patiemment.

 

Droit photo :  istcok / ComUE LR-Universités

Dernière mise à jour : 09/11/2017